L’Envolée
Dessous cette carcasse dure
Se cache un être inexorablement apeuré
De par ta dernière visite non-guidée
Coulant doucement lors de tes tortures
L’abject point de non-retour
A été enchâssé, pulvérisé
Par tes chaînes arrachés
Les mains trempées de bravoure
Moi, l’Ange Salvateur de la Cité des Morts
Est là pour toi, membre oublié
Du Vivant et de l’Ensanglantée
Tu ne peux y échapper
Les larmes insuffisantes
Coulant sur la peau froide de tes joues brûlantes
Se répercutent jusqu’au tréfonds de mon âme
Vide et sans remords, infâme
Je viens te prendre, mon chéri
Pour que plus jamais plus tu ne t’inquiètes
Du lendemain, du jour prochain qui s’annonce pis
La paix te rongera de l’intérieur
Meuh ! Il est fou, ce Gackt-san !
RépondreEffacer** OUPS ***
RépondreEffacerC'est bien rodé, comme poème, je trouve. Keep on ! =D
- aaafq