Pourquoi ne veux-tu pas venir avec moi ? À jamais et pour toujours. Je t’aimerais
toujours. Ton sang m’appartient, je le sens couler en toi, dans ta chair, dans tes veines. Je me meure, je me meure. Encore. Toujours. Habituée par le pouvoir obscure de l’illuminée. Je ne puis m’en défaire, m’en échapper, la quitter et la laisser, affaiblie et sans pitié. Dans les méandres de ma tête qui se love contre toi. Ma chair, mon cœur, ma voix t’appellent. Je t’attire, tu arrives, je me love, tu me serres. La magie infaillible décolle, nous faisant voler dans les cieux, la Voie Lactée de la Mort. Je t’aime, même si tu ne veux venir à moi. Je t’aimerai toujours.
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La, la, la ... Quel fait étrange est celui que j'ai écrit ça pendant mon cours d'économie... Comme quoi les pensées morbides ressortent lorsqu'on s'ennuie à mourir. Remarquez que l'expression est ici bien utilisée.
J'aime beaucoup le ton mélancolique, la personne concernée (réelle ou fictive, je l'ignore) semble comme intouchable... Tes cours d'économie doivent effectivement être d'un passionant ^^' *heureuse de ne plus en avoir* L'expression est on ne peut mieux placée x)
RépondreEffacerC'est rude!
RépondreEffacerQu'est-ce que l'économie t'inspire, au juste? Y'aurait une psychanalyse à faire la-dessus!
a.xx
Tu peux toujours essayer de faire une psychanalyse sur moi si tu veux, mais bonne chance. Moi-même, je comprends pas toujours mon amie dans ma tête. :)
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