Lorsque je te contemple, Apollon de joie
T'échiner pour le plaisir de mes pauvres yeux
Mon sourire ne peut se repuer de toi
Alors même que tu t'agites à cent lieux
Tel le coeur lointain de ma vie, à chaque jour
Légendaire beauté musicale qu'à moi
Je vais pour te regarder, encore et toujours
Mon coeur se balançant à ton son, douce voix
Tu me murmures, me chantes, me cris des mots
Des paroles jamais prononcées, frissonnantes
Légers souffles qui frappent durement les maux
Je me sens si bien, éphémère, quand tu chantes
Tout ce que tu fais est de la magnifique art
Ô mon Gackt, qu'aurais-je fait sans ton regard ?
Aye!
RépondreEffacerC'est le poème sur lequel j'ai droit à une partie du copyright pour avoir trouver les dernières rimes! xD
Joli!^^
Seulement les rimes, c'est moi qui est fait le reste. :P
RépondreEffacerMais merci, Michoui-kun. ^^