Se pencher sur sa blanche main
Tel une marque noire, tel un seau
Mais ce n’était pas grave, il lui plaisait bien.
C’était un compagnon, un fidèle ami
Qui l’accompagnait partout, partout
Même dans les néants de sa tête; enfouie
Sous une épaisse chevelure de boue
Il ne la quittait jamais, jamais
Il la regardait, la zieutait
La mettant dans ses yeux de vitres pour la voir
Et elle ne pouvait plus rien faire de ses jours
Mais pensait s’enfuir, bientôt, un bon soir
Peut-être le corbeau ne serait-il pas avec elle pour toujours, toujours.
18 novembre 2010.
Yeah c'est le poème que tu m'as dédié ^^ XD
RépondreEffacerC'est vraiment un bon poème :D Je l'adore!
Merci! Moi je trouve que c'est pas le meilleur, au contraire, mais il est simple et quelque peu étrange, alors je l'aime bien. :)
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