J'ai toujours pensé que les gens sont comme des oignons. On ne connait jamais toutes ses pelures. On croit connaître la personne, puis elle se secoue et nous dévoile une nouvelle façade cachée, plus difficile à découvrir, mais tout aussi intéressante, sinon plus.
Plus je regarde une personne, plus ses pelures tombent et je peux voir le noyau;
pur.
L'éclat fragile du cœur, palpitant et éphémère.
Il frétille, se presse contre les pelures, mais reste là, caché de tous. Niché presque confortablement. Les gens sont comme un labyrinthe, on pense découvrir son secret caché pour plutôt rencontrer l'inattendu.
Facettes cachées.
Des pelures sont parfois mieux recouvertes que d'autres; certaines sont d'or ou de cendre, laissant des frétillements dans les doigts ou un goût amer et la gorge serrée.
L'âme qui brille au fond des yeux, tout au fond,
qui ne demande qu'à être regardé.
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